lundi 24 décembre 2007

- Tsunami -



Tsunami : ce que l'on ne vous dira jamais !
Par Paul Ettori - Top Chrétien

"Tout le monde sait qu’au nord-est de l’Océan Indien où sévit le tourisme sexuel, l’Indonésie, constituée de plus de 17.000 îles, fut le théâtre d'un tragique tremblement de terre, suivi d’un tsunami sans précédent. Ce monstre -9,3 à l’échelle de Richter- a frappé le dimanche 26 décembre 2004 à 8 heures du matin, pendant dix minutes, faisant 200.000 victimes. Banda Aceh, la rebelle, devint la ville martyre la plus touchée : on y compta 100.000 disparus.La communauté chrétienne de la ville d’Aceh -une infime minorité- ne fut jamais autorisée à bâtir d’églises.
Quand en décembre 2004, des chrétiens courageux demandèrent officiellement à se rassembler sur la plage, pour célébrer en l’honneur de Jésus, le jour de Noël, un refus catégorique leur fut opposé. Les autorités leur accordèrent seulement, de façon dérisoire, un rassemblement sur les montagnes, à plusieurs heures de marche de la ville. Cela fut connu de la population…Les chrétiens s’en allèrent donc passer Noël sur les hauteurs, pour célébrer le Seigneur.

Quand ils redescendirent, le dimanche 26 décembre 2004, la désolation s’offrait à leurs yeux. C’est alors qu’un travail s’opéra dans les consciences. Plusieurs habitants d’Aceh, jusque là opposés au christianisme, interprétèrent cela comme un jugement de Dieu. Beaucoup se mirent à demander pardon au Dieu des chrétiens et à avoir soif de connaître Jésus. De nombreux bénévoles (ONG, MSF…) ainsi que les églises de Java furent autorisés à venir en aide à la population, apportant soins et nourriture.Puis il y eut un autre tsunami : dans les semaines qui suivirent, on fit état d’une explosion de témoignages de conversion ; des églises commencèrent à se dresser ; le christianisme put s’implanter dans la ville ouverte.Aujourd’hui, les observateurs officiels vous diront qu’à Aceh, rien ne sera plus comme avant : tout a été détruit, tout est à reconstruire. Mais les chrétiens authentiques vous diront, eux aussi, que rien n’est plus comme avant : la crainte de Dieu s’est emparée des habitants et l’Evangile d’amour a étendu son royaume dans bien des cœurs…
Soudain je parle, sur une nation, sur un royaume, d’arracher, d’abattre et de détruire … Et soudain je parle, sur une nation, sur un royaume, de bâtir et de planter. Jérémie 18.7, 9 "

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